Club de la Presse 26/07

lundi 21 février 2011

73° PRIX ALBERT LONDRES


A l'aube du troisième millénaire, l'écriture et la démarche intellectuelle d'Albert Londres (1884-1932) restent un modèle pour tous les reporters. Le prince du reportage a donné au journalisme ses lettres de noblesse.
Le prix qui porte son nom depuis 1933 a pour ambition de promouvoir et de défendre les idéaux d'une profession qui se veut une passerelle entre les hommes.
Pour les héritiers d'Albert Londres, le chemin de leur vie se confond avec celui de leur métier ; le journalisme est la colonne vertébrale de leur existence. L'association du prix Albert Londres, grâce au partenariat de la fondation Singer-Polignac et de la Scam, a organisé un colloque le 13 juin 2001 sur le thème de l'évolution du grand reportage écrit et audiovisuel.

PRIX ALBERT LONDRES 2011

Le 73e Prix Albert Londres du grand reportage de presse écrite et le 27e Prix Albert Londres de l’audiovisuel seront remis le 14 mai 2011. Toute la presse francophone est invitée à concourir. Seules les qualités d'écriture et d'enquête sont appréciées. Chacun des Prix est doté de 3.000 €.

Les dossiers de candidatures doivent être adressés AVANT LE 31 MARS 2011 DERNIER DELAI à : Prix Albert Londres / Scam. 5, avenue Vélasquez - 75008 Paris.
> lien le bulletin de candidature et l'appel à candidature
Information > www.prixalbertlondres.org : Stéphane Joseph : + 33 (0)1 56 69 58 09 / stephane.joseph@scam.fr

Photo : Albert Londres à Shanghai en 1932 sa dernière photo

Denis ROBERT A DÉFINITIVEMENT GAGNE CONTRE CLEARSTREAM


Le Club de la Presse et des Médias de Grenoble et de l'Isère, a le plaisir de vous faire suivre l'information suivante :
Après 10 ans de procédure, quatre ans de comité de soutien, des centaines de dons, un concert et une vente aux enchères à son bénéfice, plus de 100 000 euros de frais de justice, 500 Journalistes affichant leur carte de presse en signe de soutien...
Denis Robert a d é f i n i t i v e m e n t g a g n é contre CLEARSTREAM

Les hauts magistrats de la Cour de cassation viennent d’annuler trois condamnations à l’encontre de Denis Robert en soulignant "l'intérêt général du sujet traité et le sérieux de l’enquête" et condamnent Clearstream à lui verser 9000 euros . Clearstream devra de plus rembourser Denis ROBERT des sommes qu'il a versées à la suite
de ses condamnations précédentes. L'affaire reviendra devant la Cour d'Appel de Lyon pour un ultime procès lors duquel Denis Robert pourra demander des dommages et intérêts ainsi que des publications dans différents journaux. Après dix ans de procédure et de harcèlement, c’est une formidable victoire du droit, de la justice et du journalisme.
Le Comité de Soutien à Denis Robert


Nous vous joignons un texte de Denis Robert écrit à la suite de ce jugement.

Dix ans et toutes mes dents.

Note pour mes amis et les amis de mes amis qui ont la mémoire embrouillée et me demandent des détails sur les jugements de la cour de cassation qui viennent de tomber. D’abord vous dire qu’ils mettent un terme une longue bataille judiciaire et qu’ils m’enchantent.

Depuis dix années que Révélation$ est sorti (28 février 2001), de nombreuses plaintes ont été déposées contre mon éditeur, les chaînes qui ont diffusé mes films, de nombreux journaux et contre moi. Une soixantaine en tout, dans plusieurs pays, en comptant les procédures pénales et les constitutions de partie civile.
Parmi ces plaintes, une dizaine émanait de la Banque Générale de Luxembourg et une vingtaine a été lancée par la Menatep une banque russe liée à la mafia. Je peux dire que globalement j’ai gagné tous ces procès.
La Chambre de Compensation luxembourgeoise Clearstream a diligenté une grande partie des autres procédures. Leur stratégie a été essentiellement basée sur la calomnie, une extrême mauvaise foi, le harcèlement, l’acharnement et l’intimidation.
Cette stratégie, loin du droit, échoue lamentablement aujourd’hui, pour laisser place à la justice et au journalisme. Une victoire sans tambour, ni trompette. Une victoire gravée dans le marbre. Un souvenir de victoire bientôt. Peu importe. Cette décision ouvre d’intéressantes perspectives. Clearstream ne pourra plus faire comme avant…
Une vingtaine de plaintes ont été déposées par la multinationale en France, en Belgique, au Luxembourg, occasionnant des centaines de visites d’huissiers à mes domiciles. Passé les limites, je ne compte plus.
J’ai perdu quelques procès (en particulier pour des interviews à des journaux, je pense à Sud Ouest ou VSD). J’en ai gagné (Nouvel Obs, le Point, « Tout le monde en parle » sur France 2). J’aurais pu et j’aurais dû, si j’avais eu les moyens financiers, aller systématiquement pour toutes ces procédures jusqu’à la Cour de Cassation. Je ne l’ai fait que pour trois d’entre elles. Les plus importantes à mes yeux, puisque ces procédures concernaient les deux livres originelles « Révélation$ », la « Boîte Noire » et « Les dissimulateurs », mon premier documentaire sur l’affaire.
Passons sur « Clearstream l’enquête » qui a occasionné une condamnation symbolique (mais onéreuse en frais de procédure) à Luxembourg, pour nous intéresser au reste…
Pour « Révélation$ » et « Les dissimulateurs » (mon premier documentaire diffusé en février 2001), j’ai été condamné en diffamation à hauteur d’un euro symbolique de dommages et intérêts en mars 2004, puis (en appel) à 1500 euros en octobre 2008, sans compter les frais de procédure.
Pour « La Boîte Noire » (sorti en octobre 2002), Clearstream a été déboutée et condamnée à me verser 3 500 euros de dommages et intérêts en première instance. Devant la Cour d’Appel (Paris, octobre 2008), j’ai été condamné à 1500 euros, sans compter les frais de procédures et de publication des décisions.
Je me suis pourvu en cassation. J’ai pris cette décision contre l’avis de nombreuses personnes, dont mon éditeur, Les Arènes et la chaîne Canal + qui ont refusé de poursuivre les procédures. Je ne les accable pas. De leur place, il leur était sans doute difficile d’aller au bout de la bataille à mes côtés. Certains auraient lâché avant.
Dans les jours qui ont suivi les décisions de la Cour d’appel, Clearstream a acheté une page dans le Monde pour proposer une transaction qui consistait à accepter ces condamnations contre la non-exécution des arrêts. En gros, le non paiement des sommes auxquelles j’étais condamné.
Il était impensable d’accepter un tel compromis, de renier mon travail, mon enquête. Il était indispensable sur les principes qui fondent ce que doit être le journalisme, de me battre jusqu’au bout pour obtenir une décision reconnaissant le droit. J’étais prêt à aller jusqu’à la Cour Européenne des Droits de L’homme s’il le fallait.
Je savais ce que j’avais vu et fait. J’avais intégré les enjeux de cette bataille. Un système financier sain au départ a été dévoyé, ouvrant d’incroyables possibilités de dissimulation. Mon enquête était, est, restera fondée. Mes écrits reposent sur des documents, des courriers, des listings, des microfiches, des témoignages filmés. Des éléments suffisamment probants qui ont permis de mettre à jour des comptes non publiés produisant de l’opacité, un système d’effacement de traces de transactions, la probabilité très forte d’une double comptabilité, des liens présumés entre Clearstream et l’Eglise de scientologie, l’hébergement de banques mafieuses, l’utilisation de Clearstream pour la mise en œuvre d’opérations occultes, l’absence totale de transparence et de contrôle, la complicité des auditeurs, le licenciement du personnel qui refusait de procéder à des manipulations comptables et de publier des bilans de fait maquillés… Mon enquête et la simple lecture de mes documents montraient, montrent que cette firme abritait plus de 6000 comptes ouverts dans des paradis fiscaux. Parmi ces comptes, des sociétés off shore, mais aussi des filiales de banques respectables. J’ai révélé que des multinationales pétrolières, agroalimentaires ou industrielles avaient également ouvert des comptes discrets à Clearstream. J’en passe et des dizaines.
Au delà du coup de projecteur sur cette firme, l’ensemble de ce travail explicitait les dérives inquiétantes du système financier international et révélait les contours d’une finance véritablement parallèle.
J’en savais beaucoup et je ne voulais pas me taire. Je restais persuadé que les juges de la Cour d’Appel ne m’avaient pas jugé comme il le fallait au vu des éléments du dossier.
L’appui de mes amis du comité et des mille huit cent quatre vingt six personnes ayant soutenu ce qui devenait un combat de longue haleine ont été déterminants.
Canal plus et mon éditeur ont été condamnés à mes côtés, mais Clearstream s’est retournée systématiquement vers moi. Le but n’était pas tant l’argent que la volonté de m’étouffer financièrement, de m’empêcher de poursuivre mes recherches et de me défendre.
Le moment de bascule a été l’affaire pénale dite « Clearteam 2 ». Celle mettant en cause Dominique de Villepin. Clearstream s’est constituée partie civile dans cette procédure concernant les listings truqués. J’ai été mis en examen pour vol et recel en fin d’année 2006. Dès lors sans que je m’en rende compte, la suspicion a changé de camp. Les communicants de la firme et leurs avocats ont habilement utilisé cette seconde procédure pour influencer les juridictions dans les procès qui m’étaient faits.
Clearstream me présentait comme le pivot de cette nouvelle affaire qui n’avait aucun lien avec les litiges nous concernant. Tenter de ridiculiser mon travail ne suffisait plus, il fallait pratiquer l’amalgame et la confusion.
Combien de fois ai-je entendu les avocats de la firme ou des journalistes malveillants se moquer de « mes erreurs », m’appeler le « falsificateur » ou le « conspirationniste ». Tout cela a joué. Comme ont dû jouer les articles fielleux écrits par des procureurs à moustaches, des éditorialistes à deux balles, des concierges du net. Je sais, je ne devrais pas. Mais bon. Je pense aussi à certains politiques qui m’avaient épaulé et qui soudainement ont baissé les yeux.
J’ai arrêté mon blog. J’ai arrêté le contact frontal. Je suis resté zen. J’ai attendu que ça passe. J’ai été relaxé en janvier 2010. Cette décision pénale est définitive.
Pour le reste, j’ai attendu que des magistrats jugent, tranquillement. Loin du tumulte. C’est ce qui vient de se passer.
La Cour de cassation est la plus haute instance judiciaire française. Le dernier recours avant la Cour européenne des droits de l’homme. Je l’avais envisagé.
Chacun des trois arrêts qui me libère aujourd’hui et accable Clearstream est rédigé dans des termes clairs, précis et sans ambiguïté. La Cour de Cassation « autorise » les propos et les imputations contenues dans mes deux livres et mon documentaire.
La Première Chambre Civile de la Cour de Cassation, se fondant sur l’article 10 de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, a rendu trois arrêts qui sonnent le glas à mes ennuis et ouvrent des brèches importantes chez ceux qui m’attaquaient.
C’est fondamental. Ça fera jurisprudence.
Les arguments retenus par la Cour de Cassation sont intégralement ceux développés par mes défenseurs Michel Zaoui et Bénédicte Litzler au cours de ces dix années. Pour des raisons de procédure, nous nous sommes adjoint un avocat à la Cour de Cassation, Denis Carbonnier. Il s’est aussi battu à nos côtés. Il s’agit d’une reconnaissance de la qualité de leur travail et du mien.
La Cour de Cassation a annulé mes trois condamnations du 16 octobre 2008 pour diffamation. Elle a explicitement reconnu « l’intérêt général du sujet» et le « sérieux de mon enquête ».
Tout le monde peut maintenant citer partout ce que j’avais écrit.
Dix ans pour mesurer l’aveuglement du dirigeant de Clearstream qui a porté plainte à l’origine contre moi. Ses successeurs n’ont pas démontré plus de clairvoyance puisqu’ils ont régulièrement relayé et encouragé ces plaintes.
Je ne sais pas ce que deviendront les informations contenus dans mes livres et mes films. Je ne sais pas ce que les Allemands qui ont racheté Clearstream en 2002 (suite à mon enquête) et qui ont forcément constaté ces dérives ont fait. La justice luxembourgeoise étant peu équipée pour traiter ces sujets et la justice européenne encore défaillante, je crains que le combat pour mettre un peu de rationalité et de contrôle dans cette banque des banques soit encore long. Pourtant ici plus qu’ailleurs, la question de la régulation du capitalisme se pose. Je rappellerai ce chiffre : Clearstream a annoncé en 2010 plus de dix trillions d’euros de valeurs enregistrées dans ses comptes. Dix mille milliards d’euros.
Pour revenir aux arrêts de la Cour de Cassation, toutes les demandes de Clearstream à mon encontre sont définitivement rejetées. Ils sont condamnés à me verser la somme de 9 000 euros au titre des frais de procédure et à me rembourser le montant de mes précédentes condamnations aujourd’hui annulées.
En ce qui concerne le préjudice financier et moral subi par moi pendant ces années, les trois affaires sont renvoyées devant la Cour d'Appel de Lyon. Je vais demander réparation aux dirigeants de la firme.
Par leur harcèlement, leur entêtement, leurs mensonges, leur acharnement judiciaire, Clearstream et ses communicants sont responsables de dix années à bien des égards perdues. La crise financière étant passée par là, on voit bien les raisons politiques et financières qui les ont amenés –par tous les moyens- à me faire taire. Ils n’y sont pas parvenus. Au final, toute mon enquête est entièrement validée. Les arrêts sont définitifs et sans recours pour Clearstream.

Merci du fond du cœur à tous ceux qui m’ont soutenu. Et vous êtes nombreux. Je ne me suis jamais senti seul ou angoissé pendant ces années. Et ça je vous le dois.

Denis Robert. Chatel, le 7 février 2011

mardi 15 février 2011

En route vers la finale





Deux journalistes de Drôme-Ardèche lauréats régionaux du concours Clic photo organisé par le Club de la presse 26/07.

Pour la deuxième année consécutive, les membres du Club de la presse 26/07 affiliés à l’UCP2F (Union des Clubs de la Presse de France et Francophones) ont participé au concours Clic photo. Le thème retenu cette année était le sport. L’idée est de mettre en valeur le talent des membres des clubs et celui des photographes de presse mais aussi de participer à la valorisation des différentes régions et pays représentés au sein de l’UCP2F.
Chaque club est donc chargé dans sa région de procéder à une sélection des photos avec un jury local, dans chacune des deux catégories.
Patrick Gardin, photographe de presse indépendant, vient de remporter la
sélection régionale dans la catégorie professionnelle. Il avait proposé au concours un cliché de combat de boxe en catégorie WBA avec Fabrice Tiozzo contre Silvio Branco, cliché pris lors d’une finale des championnats du monde à Lyon le 20 mars 2004.
Dans la catégorie amateur, c’est la journaliste de radio RCF Vivarais Vanessa Sansone qui remporte ces sélections avec l’image d’un alpiniste prise en 2009 lors d’un trek qu’elle avait effectué en Islande.
Les images de ces deux journalistes iront à présent concourir au niveau national. L’UCP2F organisera une exposition des tirages de tous les lauréats régionaux qui auront participé à la finale nationale lors de son congrès 2011 qui se déroulera du 7 au 12 avril 2011 à Nîmes.
Thème obligeant, la soirée de sélection des images s’est déroulée dans les locaux du Comité Départemental Olympique et Sportif de la Drôme sous l’égide de sa présidente Odette Durand.
Patrick Gardin et Vanessa Sansone ont été récompensés avec des lots en nature offerts par les partenaires du Club, l’Agence de Développement Touristique de la Drôme et l’appellation Vinsobres.

mercredi 9 février 2011

L’UCPF soutient les journalistes tunisiens


L’Union des clubs de la presse de France et francophones (UCP2F) se réjouit de l’énorme espoir d’un retour à la démocratie pour le peuple tunisien qu’a soulevé le départ de l’ex-président Zine el-Abidine Ben Ali et prend acte avec satisfaction des promesses du gouvernement de transition concernant la liberté de la presse, pilier de la démocratie pour tous les citoyens, là-bas comme ici.

L’UCP2F soutient la liberté de la presse et l’indépendance de l’information vis- à-vis de tous les pouvoirs et sera particulièrement attentive aux évolutions dans ce domaine.
Nous assurons nos confrères et consœurs tunisiens, dont certains d’entre eux ont tissé des liens avec nos clubs, de notre soutien et de notre solidarité et leur souhaitons de pouvoir exercer leur métier en toute indépendance et pluralisme.

Pour l’UCP2F,
Karl SIVATTE
Président
Contact Presse : Jacqueline Degrandmaison 06 08 80 16 17

samedi 5 février 2011

Prochain RDV du Club

Soirée de sélection des clichés du concours photo Clic UCP2F sur le thème du sport par les adhérents du Club et remise des récompenses par nos partenaires :
Jeudi 10 février 2011
de 18h30 à 21h30
en présence d'Odette DURAND, présidente du CDOS Drôme

Lieu : Maison des bénévoles du sport
CDOS, Comité Départemental Olympique et Sportif de la Drôme
71, rue Pierre LATECOERE
26 000 Valence

Merci de confirmer votre présence à cette soirée sur clubpresse2607@aol.fr
PRESENCE DES CANDIDATS AU CONCOURS INDISPENSABLE !

Journalistes et vignerons solidaires d’Haïti



La solidarité n’est pas un vain mot pour les journalistes. Le Club de la presse 26 07 vient de remettre un chèque de 1850 € à Frantz DUVAL président du Club de la presse d’Haïti lors du dernier conseil d’administration d l’UCP2F (Union des Clubs de la presse de France et francophones) qui s’est tenu à Paris le 29 janvier 2011 et dont les deux Clubs sont membres.
Durant 5 mois, les membres du Club de la presse 26 07 ont procédé à une vente de vin de l’appellation Vinsobres grâce à l’implication de 4 domaines du sud Drôme. Près de 3 000 bouteilles ont ainsi été vendues.
Tous les clubs affiliés à l’UCP2F ont apportés leur aide aux confrères haïtiens sinistrés. Au total 12 300 € ont été recueillis pour permettre la reconstruction de deux médias : l’agence de presse en ligne Alterpresse et la radio locale Magik 9.
Frantz DUVAL, journaliste et directeur de Magik 9 est enchanté de recevoir cet argent qui va lui permettre de racheter du matériel de mise en onde et de faire repartir sa radio avec 23 salariés.
Les sommes attribuées aux journalistes de l’île ont été remises en payant directement des fournisseurs de matériel.
Tous les particuliers, généreux acheteurs drôme-ardéchois de la cuvée solidaire dont certaines collectivités et institutions comme le Conseil général de la Drôme, la CCI 26, la mairie de Valence ont donc contribués au redémarrage de ces deux médias.

Sur la photo :
Karl SIVATTE, président de l’UCP2F et Hélène MARGARON vice-présidente du Club 26/07 remettent un chèque à Frantz DUVAL, président du Club de la presse d’Haïti
Crédit photo : Jacques-Marie Francillon (Club presse 38)

mardi 1 février 2011

Hervé, Stéphane :400 JOURS DE CAPTIVITE , 400 JOURS DE TROP



Cela fait 400 jours ce 2 février 2011 - un an et 35 jours, 9.600 heures – que
nos confrères Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier sont retenus en
otages en Afghanistan.
Ces journalistes expérimentés, spécialistes des grands reportages en
zones de conflits, ne faisaient que leur métier : enquêter, aller au plus
près des populations, afin de donner une information aussi exacte que
possible.
Ils sont toujours loin de leur famille, loin de nous. `
Une fois de plus, l’Union des clubs de la presse de France et
francophones (UCP2F) – qui regroupe plus de 3 000 journalistes en
France et dans des pays francophones - déplore l’absence de nouvelles,
d’informations sur l’évolution des négociations avec les ravisseurs.
Une fois de plus, elle demande au gouvernement, aux élus, de mettre
tout en oeuvre pour faire libérer ces deux journalistes et leurs trois
accompagnateurs.
Une fois de plus, l’UCP2F assure Hervé et Stéphane et leurs familles de
son soutien, de sa solidarité, et de sa détermination à se mobiliser
jusqu’à leur libération.
Pour l’UCP2F, Karl SIVATTE , Président

ANNIVERSAIRE D'HERVE
La date de l'anniversaire d'Hervé est le 5 février.
L' UCP2F demande à tous ses adhérents d'envoyer dans la semaine une carte postale lui souhaitant bon anniversaire à l'adresse:



Hervé GHESQUIERE
c/o Ministere des Affaires Etrangeres
37 quai d'Orsay
75351 Paris cedex 07


Photo d'Eric CAILLET : la mobilisation est intacte à Valence