Club de la Presse 26/07

samedi 26 novembre 2011

FORMULAIRE DE CANDIDATURE AU PRIX ECO-REPORTAGES 2011

nom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

prénom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

pseudonyme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

date de naissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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courriel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

tél . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

nom de l'employeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ou pigiste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

n° de carte de presse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ou carte de correspondant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

titre de l'article/émission présenté au prix Eco-reportages 2011 et durée pour l’audiovisuel :
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date de publication-diffusion et support : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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adresse Internet sur laquelle peuvent être écoutées et vues les émissions radio et TV . . . . .
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Je reconnais avoir pris connaissance du règlement du prix Eco-reportages 2011 et en accepter
les dispositions.

Fait à . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .,

le . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

signature . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Formulaire à joindre impérativement au dossier d’inscription avec la copie de la carte de presse et l’envoyer avant le 20 janvier 2012.

REGLEMENT DU PRIX ECO-REPORTAGES 2011

Le prix Eco-reportages récompense les journalistes auteurs de reportages (articles ou
émissions) illustrant et expliquant comment des initiatives apportent des améliorations sociales, environnementales et économiques s'inscrivant dans ce que l'on appelle communément le développement durable. Il a été lancé en 2009 par le Club de la presse Drôme-Ardèche.

Qui peut participer ?
Le prix est réservé aux journalistes (de la presse française et francophone), détenteurs d’une carte de presse officielle dans leur pays ou attestés comme journalistes par le club de la presse Drôme-Ardèche organisateur (correspondants locaux de la presse quotidienne régionale et hebdomadaire).
Chaque candidat ne peut présenter qu'une seule contribution, écrite ou émission pour cette édition du concours.

Oeuvres concernées
Le prix concerne des reportages écrits publiés dans les media « papier » et des travaux rédigés spécifiquement pour le Web sans faire l’objet d’une publication papier, ainsi que des émissions diffusées par une station radio ou une chaîne de télévision (reportage de 2 à 8 mn ).
Les articles et émissions devront avoir été publiés ou diffusés entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2011 et correspondre à l'objet du concours.

Le jury
Le jury des prix Eco-reportages 2011 est constitué d’un nombre impair de membres désignés par le conseil d'administration du club de la presse Drôme-Ardèche, dont :
• deux journalistes membres du club 26-07
• des journalistes de l’association nationale JNE et de clubs de la presse voisins
• des experts
• des élus et/ou représentants des partenaires déclarés pour l’organisation 2011 de ce prix
Les prix sont attribués par vote à la majorité simple.

Le dossier comprend :
le formulaire d'inscription complété lisiblement et signé par le candidat à télécharger sur le site du Club de la presse Drôme-Ardèche www.clubdelapresse-2607.info et http://clubdelapresse2607.blogspot.com/
et un CD contenant :
• pour la presse écrite ou Internet : le fichier Pdf de l'article publié ou de la page Internet
ET une copie papier ;
• pour la presse audiovisuelle : le fichier des documents son ou video ET une adresse
Internet où le reportage son ou images peut être consulté et ce jusqu’au 31 mars 2011.
L'envoi parallèle par courriel des fichiers reportages (texte et son ou video) à l'adresse du club de la presse ecoreportages2607@gmail.com est vivement recommandée.
La date limite d'envoi des dossiers est fixée au 20 janvier 2012 inclus, le cachet de la poste faisant foi. Tout dossier incomplet ne sera pas pris en compte.

La dotation des quatre prix
• Le prix Eco-reportages 2011 presse écrite (papier et Internet) est doté d'un montant de
1000 €
• Le prix Eco-reportages 2011 audiovisuel (radio et/ou tv) est doté de 1000 €
• Le troisième prix Eco-reportages 2011 récompensera spécifiquement un(e) pigiste
(choisi(e) dans les deux catégories précédentes après la désignation des deux autres
lauréats) afin d’encourager les pigistes dans le traitement de cette thématique complexe.
La dotation est de 1500 €.
• Le quatrième prix Eco-reportages 2011 récompensera un reportage portant sur un
évènement, une expérience concernant la région Rhône-Alpes ; il est doté de 1000 € (les reportages classés dans cette catégorie ne concourent pas dans les autres)
Ces prix récompensent les meilleurs reportages dans chaque catégorie pour leur qualité journalistique et la démonstration de ce qu'est une démarche favorisant un développement soutenable.
Les prix sont attribués à des candidats uniques, il n'y aura pas d'ex-aequo.
Le jury se réserve le droit de ne pas attribuer les prix si l'insuffisance des oeuvres présentées l'exige. Le montant des prix pourra alors être reporté sur un concours ultérieur.

Remise des prix
Dans un délai de trois mois après la clôture du dépôt des candidatures, les résultats seront notifiés aux lauréats ;
Une remise des prix sera organisée à Valence dans la Drôme (bâtiment de l'INEED) à laquelle participeront les lauréats*.


* Aucun frais ne sera pris en charge par le club de la presse 26-07

Partenaires
Ce prix 2011 est doté grâce au concours de :
la région Rhône-Alpes
le Département de l’Ardèche
la CCI de la Drôme
Orange
ERDF
Energie SDED
et Veolia Transport Valence

lundi 21 novembre 2011

PRIX ECO REPORTAGES 2011 : C'EST PARTI !




Le lancement officiel de la 3ème édition d'Eco-reportages s’est tenu le 18 novembre à l'Arche des Métiers du Cheylard en Ardèche en présence des partenaires du Club : la région Rhône-Alpes, le Département de l’Ardèche, la CCI de la Drôme, Orange, ERDF Drôme Ardèche, Energie SDED et Veolia Transport Valence. Ce lancement a été organisé à l’occasion d’une visite des membres du Club de l’exposition interactive « Homo Mobilus » -la place du réseau mobile dans notre vie - exposition signée par la Cité des télécoms à l’Arche des Métiers au Cheylard. Visite suivie d’une conférence sur les réseaux sociaux et le téléphone portable animée par Patrice CARRE de la Direction des relations avec les collectivités locales France Télécom Orange,, enseignant au CELSA (Université Paris Sorbonne / École des hautes études ensciences de l'information et de la communication).
Le Prix 2011 récompensera quatre journalistes auteurs de reportages illustrant et expliquant comment des initiatives apportent des améliorations sociales, environnementales et économiques s'inscrivant dans ce que l'on appelle communément le développement durable.
Le prix s’adresse aux journalistes de la presse française et francophone ; il concerne des articles de la presse écrite ou Internet et des émissions de radio ou télévision.
Ce concours 2011 est doté de quatre prix dont un de 1500 euros et trois de 1 000 € chacun.Les catégories sont : presse écrite, presse audiovisuelle, un prix « pigistes » et enfin le quatrième concernant des reportages s’inscrivant en région Rhône-Alpes. La première édition en 2009 avait permis de récompenser trois journalistes sélectionnés par un jury composé de journalistes, experts et élus. Le règlement du concours sera disponible aux adresses suivantes :
www.clubdelapresse-2607.info et http://clubdelapresse2607.blogspot.com/


Photo : lancement du Prix en présence de quelques partenaires de l'opération et de Christian Feroussier, directeur de l'Arche des métiers.

dimanche 6 novembre 2011

LETTRE OUVERTE A NOS CHERS PATRONS

SNJ - FEJ (Fédération Européenne des Journalsites) - "Debout pour le journalisme" Lettre ouverte à nos chers patrons
Précarité : le secteur des médias n'est pas une zone de non-droit
Emplois supprimés par wagons entiers, précarité galopante, travail dissimulé, mépris du Code du Travail, discrimination syndicale, atteinte à la liberté d’expression : ces mots s'affichent au-dessus de la pliure à la « une » de nos journaux, sur nos sites internet, en ouverture des JT, au sommaire des radios d'infos. Si promptes à donner des leçons, parfois à coup d’éditoriaux vengeurs, les entreprises du secteur des médias se considèrent-elles au-dessus des lois ? Mesdames et messieurs les patrons, commencez par balayer devant vos portes, qui sont aussi les nôtres !
Il ne s'agit pas de nier la crise économique, renforcée par une perte de crédibilité des médias, qui frappe de plein fouet nos entreprises. Ces difficultés ne constituent pas pour autant des passe-droits. En aucune manière elles n'autorisent les chefs d'entreprises à s'affranchir de la loi, des statuts des salariés, des conventions collectives. Mesdames et messieurs les employeurs, tout autant que les journalistes, vous avez des droits, mais vous avez également des devoirs !
Quelle perspective, en 2011, pour un jeune étudiant en école de journalisme qui envisage de travailler dans le secteur des médias ? Tout d’abord, multiplier les stages, rémunérés ou non. Bien au-delà des conventions écoles, qui permettent de mettre le pied à l'étrier, les stagiaires servent aujourd’hui de variable d'ajustement dans des rédactions aux effectifs trop justes. Où se trouve l’aspect formateur lorsqu’il n’est pas matériellement possible de les encadrer ?

Travail dissimulé ? Oui, bien sûr. Lorsque que le fonctionnement d’une rédaction est basé sur la présence continuelle de stagiaires pour alimenter l’antenne, le site ou les colonnes d’un média. Lorsqu’ils pallient les surcharges de travail créées par les suppressions d'emplois.
Travail dissimulé encore, dont va être victime notre jeune confrère diplômé lorsque les entreprises de presse régionale et départementale détournent le statut des correspondants locaux de presse (CLP), pour s'offrir avec lui une main d'œuvre journalistique bon marché. Il faut en passer par là pour s’insérer dans le monde du travail, lui expliquera-t-on en taisant tout ce dont le prive le fait d’être « travailleur indépendant ».
Mais il y a un nouveau « modèle » pour s’affranchir du Code du Travail qu’on ne manquera pas de proposer à ce jeune diplômé. Le recours insidieux à l'auto-entreprenariat, que ce soit pour les journalistes appointés comme CLP ou ceux rémunérés à la pige. Le chantage à l’emploi étant généralement brandi pour leur faire accepter ce déclassement contraire aux règles. Mesdames et messieurs les employeurs, vous n'êtes pas au-dessus des lois !

Faut-il le rappeler ? Le statut de journaliste est un statut de salarié quel que soit le mode de rémunération, au mois ou à la pige. C’est une lapalissade mais il doit donc être payé en salaire, avec les cotisations afférentes, et non en droits d’auteur/Agessa pour des premières publications. A ce statut, sont donc associées toutes les garanties légales en cas de maladie, maternité, accident du travail, chômage, retraite, cession, cessation ou changement d’orientation d’un titre. Et tous les acquis de la Convention collective des journalistes, notamment le droit de refuser tout travail de publicité rédactionnelle, la couverture pour risques exceptionnels ou les primes d’ancienneté. Mesdames et messieurs les patrons, vous n'avez pas le droit de vous dédouaner de vos obligations d'employeurs, à travers une « sous-traitance » incompatible avec l'activité journalistique !
La crise économique ne peut servir de prétexte, quand vous et vos prédécesseurs ont réussi le tour de passe-passe d'échapper aux barèmes minimaux de piges, dans la plupart des formes de presse, alors qu'ils sont obligatoires depuis plus de vingt-cinq ans, au regard de la Convention Collective Nationale de Travail des Journalistes. Mesdames et messieurs les employeurs, il est temps d'accepter une règle commune en matière de paiement des piges, pour sortir de la politique du gré à gré, à la tête du client. Celle-ci conduit en effet des journalistes rémunérés à la pige à travailler en-dessous du smic. Ce qui est intolérable. Le maintien constant de la précarité dans la profession ne peut être un mode de gestion responsable des salariés.
Et ensuite, une fois le statut de journaliste chèrement acquis, que peut espérer notre jeune confrère diplômé ? Une succession de CDD, d'un journal à l'autre, d'une société à l'autre, une sorte d'interminable « période d'essai » sans aucune perspective pérenne, le délai de carence imposé n'étant qu'une garantie pour éviter à l'employeur la requalification du CDD en CDI. Alors que l'emploi de CDD, dans les rédactions, masque souvent des manques d'effectifs. En ce domaine, l'Etat n'est pas le meilleur élève. Le SNJ l’a épinglé à Radio France dans un livre blanc qui décrit le quotidien de ces précaires, trimballés d'une station à l'autre.
Mesdames et messieurs les employeurs, il est temps de retrouver le droit chemin. Le jour où vous comprendrez que la sécurité matérielle et morale est la base de l’indépendance des journalistes mais également de la qualité de leur travail, les médias feront un pas dans la bonne direction pour retrouver leur crédibilité perdue vis-à-vis du public.
Paris, le 4 novembre 2011.
Photo : carte de presse professionnelle

Libres propos : Incendie tragique à Charlie Hebdo


Incendie tragique à Charlie Hebdo

Un cocktail Molotov provoque un incendie qui détruit partiellement les locaux d'un hebdomadaire satirique. L'attentat se déroule à Paris dans la nuit du 2 novembre 2011. L'équipe de Charlie Hebdo se retrouve sur le trottoir sans moyens pour poursuivre son travail. Incroyable, inacceptable.
Des propositions d'aide d'autres rédactions ont afflué aussitôt et les journalistes de Charlie ont élu domicile à Libération pour un temps. Que cette solidarité perdure ; soutenons Charlie Hebdo les semaines à venir en achetant les prochains numéros de l'hebdomadaire... même si l'on n'est pas toujours mort de rire devant la subtilité de leurs dessins et propos.
Qu'un organe de presse soit l'objet d'une telle violence dans ce pays est en effet inacceptable. La liberté d'expression et de pensée ne peut être remise en cause en France. On l'a entendu sur tous les tons et dans des bouches de tous bords politiques les heures qui ont suivi l'incendie. Tant mieux. A noter les propos du ministre de l'Intérieur : « la liberté de la presse est sacrée ». Dans une république laïque cela va de soi.
Les menaces reçues par la rédaction de l'hebdomadaire sitôt connu le sommaire de leur numéro paru le 2 novembre « Charia Hebdo » étaient déjà condamnables. Tout comme l'attaque sur le site Internet de la publication. En France, il est tout à fait légitime que des journalistes s'interrogent sur l'arrivée au pouvoir d'islamistes en Lybie et en Tunisie après des mois de lutte des peuples de ces deux pays pour la liberté d'expression notamment. Bien sûr, Charlie Hebdo a choisi de ne pas s'en tenir à la règle de l'islam interdisant la représentation du prophète Mahomet. Cette règle ne relève pas du droit dans notre pays et elle ne peut justifier une quelconque agression.
L'attentat perpétré dans la nuit du 2 novembre fait douloureusement écho aux vives réactions qui avaient secoué les communautés musulmanes du monde entier voilà six ans déjà après la publication des caricatures du Prophète Mahomet par le journal danois Jyllands-Posten. De toute évidence, la liberté d'expression et de création artistique est devenue la cible de tous les intégrismes religieux. Il n'est pas question de céder un pouce sur ce terrain en dépit de toutes frilosités ambiantes.
La caricature de l'hebdomadaire présentant Mahomet comme rédacteur en chef du numéro a effectivement soulevé des tollés. Mais loin de la pensée des journalistes d'avoir conçu ce numéro comme une insulte aux musulmans ! Charb le rédacteur en chef le souligne : "Nous avons critiqué beaucoup plus les intégristes catholiques. En 19 ans, nous avons eu 13 procès avec certains d'entre eux et un seul avec des musulmans ».
Une enquête est en cours pour retrouver les auteurs de l'agression.
Quoiqu'il en soit, la directrice de la publication l'affirme : « on ne changera pas notre ligne éditoriale "libre-penseur" qui est un fondamental de Charlie Hebdo. Pour nous, dès que la religion devient un instrument politique, on le critiquera ».

Louisette Gouverne

vendredi 4 novembre 2011

GRAND PRIX DU JOURNALISME AGRICOLE,AGROALIMENTAIRE ET RURAL


Comme tous les ans, l’Association Française des Journalistes Agricole (AFJA) organise le Grand Prix du journalisme agricole, agroalimentaire et rural qui fait aujourd’hui autorité dans le monde agricole, agroalimentaire et rural. Ce prix a été créé par notre association en
1967, depuis, il a révélé et confirmé de nombreuses signatures dans la profession.L’AFJA vous propose de participer à cet événement en nous adressant une sélection des meilleurs articles parus dans vos publications sur ces différents thèmes qui, au regard de l’actualité, prennent une importance croissante dans tous les médias. Seront retenus :
les textes publiés, les émissions enregistrées ou réalisées entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2011 – accompagnés : de treize exemplaires de l’article, insérés dans des sous-chemises sur lesquelles seront notés, les noms, prénoms, numéros de carte professionnelle, nom du journal et titre de l’article présenté,
-ou un CD pour le document radio ou vidéo, avec les mêmes précisions concernant l’auteur, adressés au siège de l’AFJA – 9, rue Papillon 75009 Paris. Le lauréat recevra un prix de 2000 € remis par le Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire, à l’occasion d’un déjeunerdébat.
ATTENTION, date limite du dépôt des candidatures fixée au 13 janvier 2012.
AFJA - Delphine DUCHEMIN - 9 rue Papillon - 75009 Paris - Tel : 01 42 46 90 48
www.afja.net